Encre de chine et feutres posca.

Les cheveux d’Elizabeth dégringolent en cascade et alors qu’elle est libérée de cet éternel chignon, elle croque aussi dans une pomme. N’y voyez pas trop de symbolisme : il ne s’agit pas ici de féminité à la sensualité délivrée après avoir acceptée le présent du malin.

Cette image à surtout un intérêt graphique pour moi, celui de figer le mouvement de la chevelure. Elle introduit par ailleurs un aspect du parcours d’Elizabeth : les interactions qu’elle a avec son environnement vont laisser sur elle des marques pérennes. Avec cette pomme, je lui offre aujourd’hui la couleur rouge.

A demain !

Adena.